Kevin Yuksek

Je vous reçois pour tout type de motif de consultation.

Sauf les motifs en lien avec la psychiatrie lourde ou tout autre motif nécessitant principalement une prise en charge institutionnelle et où la prise en charge individuelle pourrait être contre-indiquée.

Je n’ai pas de gêne à vous orienter vers des consœurs ou des confrères dont l’accompagnement clinique pourrait être plus pertinent que le mien.

Je vous invite toujours à ne pas hésitez à prendre rendez-vous avec d’autres collègues si vous n’arrivez pas à investir l’approche proposée ou juste si vous ne vous sentez pas à l’aise pour quelques raisons que ce soit.

Sans être psychologue, vous pouvez vous douter d’être en prise à un mal-être en lien avec une ou plusieurs situations vécues : accident, agression, viol, maltraitances, expérience de guerre, décès soudain d’un proche, catastrophe naturelle, abus dans l’enfance, accouchement difficile, violence, attentat, tout autre …

Ici l’objectif est d’explorer ensemble les événements difficiles que vous avez vécus en comprenant comment ils peuvent influencer votre activité mentale au quotidien.

Si vous ressentez de l’anxiété persistante, des cauchemars perturbants, des flashbacks dérangeants, une hypervigilance accrue, de l’évitement et de l’engourdissement émotionnel, de l’irritabilité, des sentiments de culpabilité et de honte, si vous avez des problèmes relationnels qui en découlent, (autres …), nous travaillerons ensemble pour atténuer ces symptômes, voir totalement les neutraliser.

Grâce à des discussions ouvertes et des outils cliniques adaptés, nous abordons des techniques concrètes pour gérer le stress et réguler vos émotions au quotidien.

L’objectif est de créer un espace où vous pourrez reconstruire votre résilience dans la relations aux souvenirs et aux vécus traumatiques et à tous les états mentaux qui y sont associés (émotionnel, sensoriel, perceptif, cognitif, etc.).

Vous pouvez vous sentir dépasser par un contexte professionnel.

Qu’il s’agisse de conflits liés à l’activité professionnelle, de stress chronique, d’épuisement professionnel (de burn-out), d’harcèlement, ou encore de perte de performance et/ou de perte de sens, (etc.), les réalités professionnelles sont de en plus plus complexes à appréhender sur le plan mental.

La fatigue est habituellement présentée comme le symptôme caractéristique de ce type d’affection. Nous parlons, ici d’une fatigue que le sommeil n’arrive pas à restaurer.

Mais pleins d’autres types de manifestations pourraient également vous alerter : angoisse intense, détachement et cynisme exacerbé, culpabilité et autoévaluation, irritabilité, symptômes physiques, négligence de soi, diminution de la satisfaction personnelle, trouble du sommeil, sentiment de désespoir ou d’impuissance, perte de confiance en soi, compulsions alimentaires et addictions, ruminations constantes, (etc.).

En règle général, l’objectif psychothérapeutique prioritaire consiste à neutraliser les conflits émotionnels qui sont énergivores en terme de ressource mentale pour ensuite réinvestir les enjeux liés à l’identité : se positionner dans les relations, apprendre à défendre ses positions, défendre le lien a soi dans la relation à l’autre même en face d’une hiérarchie ou d’un encadrement oppressant (voir dans des contextes de harcèlement), statuer et faire vivre ses décisions à coté de ses peurs, (etc.). Autant de situations ou nous pouvons finir par démissionner de nous-même en raison du coût mental que représente de défendre une identité professionnelle dans un contexte donné.

Les troubles et les états dépressifs peuvent englober un large éventail de sentiments, allant de la tristesse persistante à la perte d’intérêt pour les activités autrefois appréciées. Les symptômes peuvent varier en intensité et en durée, et chaque individu les ressent différemment.

Il est important de noter que les termes « dépression » et « état dépressif » sont souvent utilisés de manière interchangeable, mais ils peuvent aussi avoir des significations différentes selon le contexte. En général, « dépression » est un terme plus large qui peut englober diverses formes de troubles dépressifs, tandis que « état dépressif » peut se référer à une période de mal-être et de faible humeur sans nécessairement atteindre le seuil d’un trouble dépressif diagnostiqué.

La principale différence réside dans l’intensité et la durée des symptômes. Une « dépression » est généralement associée à des symptômes plus graves et persistants qui répondent aux critères diagnostiques pour un trouble dépressif majeur. Les symptômes doivent être présents pendant une période prolongée et interférer significativement avec la vie quotidienne. En revanche, un « état dépressif » est souvent plus léger et de durée plus courte. Il peut être une réaction normale à des événements de vie stressants et n’atteint pas nécessairement le niveau d’un trouble clinique.

Un des symptômes les plus significatifs pour évaluer le danger en terme de santé mentale est la présence ou non de pensées récurrentes de mort ou de suicide.

Sinon plus globalement voici des manifestations qui pourraient également vous alerter : perte d’intérêt ou de plaisir pour les activités autrefois appréciée, fatigue ou perte d’énergie fréquente, perturbation du sommeil (insomnie ou hypersomnie), changements d’appétit ou de poids significatifs, sentiments de dévalorisation, de culpabilité excessive, agitation ou ralentissement psychomoteur, (etc.).

Pour tout autre trouble ou difficulté que vous n’arriveriez pas à inscrire dans une de ces catégories, vous pouvez sélectionner le motif « Première consultation de psychologie ». Ex : troubles anxieux, troubles du comportement alimentaires, trouble de l’identité, phobies, dépendance affective, difficultés relationnelles, (etc.).